• Yasha Nurayaheimon


    Mardi 21 Avril 2015 à 20:56
    The Madao

    ous vouliez de l'originalité, alors voilà...


    Nom: Nurayaheimon

    Prénom: Yasha

    Age : 35 ans

     Type de créature: Humain

    Sexe: Homme

    Orientation sexuelle: ..... à définir...

     

    Caractère:

     

     Que dire de Yasha... Est-ce au moins un humain? Son apparence permet de l'affirmer, mais sa mentalité permet d'en douter. Totalement timbré, il serait vain de chercher en lui une trace d'humanité. Un jour sans doute, quand il fut enfant, était-il plus humain, mais une formation de tueur implacable firent disparaitre ses sentiments, et son errance dans la nature firent disparaitre son éthique. Hautain, méprisant, violent, sadique, impulsif, c'est déjà un bon début pour entrevoir les première lignes de son mental. Il aime tuer, il aime le sang, il aime voir des cadavres gire à ses pieds. Tuer quelqu'un ne lui pose donc aucun problème d'éthique.
    Mais ce n'est pas tout. En effet, il est également un homme ayant un fort penchant pour l'alcool et les femmes. Le viol n'est pas quelque chose qui lui est inconnu. Mais ce n'est pas seulement les femmes adultes. Rien n'est moins sûr, mais il n'est pas impossible qu'il ait des penchants de pédophilie. Mais violer c'est une chose, violer en tuant à petit feu, c'en est une autre. Pour lui, plaisir sensuel et plaisir sadique doivent se mélanger en un seul plaisir.
    Mais ce n'est pas fini. Yasha est un musicien de shamisen, et il trouve son inspiration à la vue de la mort, du sang, et de la souffrance. Alors, souvent, les cris de souffrance d'un humain lui inspirent un nouvel air à jouer au shamisen, ce qu'il s'empresse alors de faire.

     

    Physique:

     

     Yasha est un homme de grande taille, avec un bon mètre quatre vingt huit. Il a une peau matte, typique d'un japonais, et une corpulence mince, mais musclé à la fois. Car oui, Yasha possède une musculature développée, fruit d'un entrainement difficile dans l'art de l'assassinat. Ses cheveux, noirs comme son âme, son longs et coiffés en arrière en une queue de cheval tressée.  Son corps possède plusieurs cicatrices, qui témoignent de son quotidien chargé en combat. De plus, une vieille cicatrices barre son visage, en formant une entaille sur l'arrête du nez.
    Puis, son regard...Un regard froid et dépourvu de pitié, injecté du sentiment du prédateur chassant sa proie. Il n'y a rien à chercher dans son regard, seulement la folie d'un homme.
    Concernant son style vestimentaire, Yasha s'habille de plusieurs épaisseurs de vêtements, ce qui pourrait laisser penser qu'il n'a pas beaucoup d'agilité de mouvement, mais ce n'est pas du tout le cas, il reste totalement libre de ses mouvements. Il porte un kimono noir, revêtu d'une sorte de drap pourpre avec des symboles dessus. Avec un gros collier de perles, auxquelles sont suspendues des petites bandelettes de papier ressemblant à ses sceaux, mais il est probable que ce n'en soient pas. Le tout avec une cape noire et un chapeau. Mais je ferai un dessin pour ça, pour plus de clarté.

     

    Histoire: [Attention, violence physique et morale]

    Japon, Ere Edo, dans une petite auberge d'un petit village...

    Le voile se souleva et un homme entra. La pluie battait son plein dehors, et ainsi, de l'eau coula le long des vêtements du nouveau venu. Ce fut le silence, les quelques personnes qui étaient là mangeaient ou buvaient dans une atmosphère presque austère. L'étranger resta debout ainsi sans bouger pendant quelques instants, puis marcha finalement lentement et silencieusement vers le comptoir. La gérante était une femme d'assez jeune âge pour officier dans le commerce. L'homme se plaça devant le comptoir et déclara sa commande d'une voix sèche.

    " Sers moi de ton meilleur saké femme. "

    La patronne fut sans doute agacé par le peu de respect de cet homme, mais ce n'était pas la première fois qu'elle avait ce genre de client, alors elle se contenta de s'exécuter en silence sans rien laisser paraître. Le verre servi, puis bu, l'étranger le reposa en silence puis parla d'une voix méprisante.

    " Est-ce là ton meilleur saké? Il est tout simplement infect. "

     

    La jeune femme savait qu'elle devait contrôler ses émotions face à ce genre d'homme hautain, et ne pas se laisser emporter, ainsi laissa-t-elle courir les paroles sans mot dire. Alors, le nouveau-venu tourna les talons et commença à partir avec la même démarche par laquelle il était arrivé. Alors, la femme l'interpella finalement.

    " Vous oubliez quelque chose monsieur. "
    Il se retourna lentement et répondit.
    "- Quoi donc?
    -  Vous devez payer ce que vous avez consommé. "
    L'homme louche la fusilla du regard et lâcha sèchement: " Qui crois tu être pour oser me donner un ordre? Je ne vais pas payer pour de la nourriture bonne pour les chiens. " En disant ces mots, il dégaina légèrement son katana avec son pouce gauche, jouant la carte l'intimidation.
    Alors, un des consommateurs de la taverne, qui avait tout entendu, se leva et se dirigea vers l'étranger, d'un air énervé.
    " Et toi, qui crois tu être pour ne pas payer? "
    L'étranger le toisa d'un regard noir avant de répondre avec la même voix hautaine.
    " Je décide de ce que je fais ou non. " Cette réponse exaspéra encore plus le consommateur mécontent, qui répondit avec énervement, aggripant avec force les vêtement de l'inconnu.
    " Ça suffit ces conneries maintenant, tu consommes tu payes, c'est la règle, alors empresse toi de sortir ta bourse! "
    Mais à ce moment là, l'homme inconnu eut un terrible regard qui fusilla son interlocuteur. " Ne me touche pas, paysan! "
    Un arc argenté fut dessiné dans les airs, l'inconnu avait monté son sabre soudainement, et sa lame avait tranché net, dans une effusion de sang, la trachée de l'imprudent qui avait eu l'audace agripper ses vêtements. Il n'y eu aucun mot, aucun cri, la trachée coupée, la victime ne put prononcer un son, et tandis que sa gorge se colorait d'un écarlate vif, le malheureux s'effondra aux pieds de son meurtrier, qui repoussa son cadavre d'un coup de pied dédaigneux.
    Silence, de surprise et d'horreur, puis ce fut le massacre. Les trois autres consommateurs qui étaient présents se ruèrent sur le meurtrier. Mais le combat était inégal, d'un coup de bien placé, il fit tomber le premier assaillant et l'acheva immédiatement en enfonçant son sabre dans la nuque, puis, retirant son sabre dans le même mouvement, il fit une coupe circulaire à mi-hauteur pour ouvrir le ventre du deuxième assaillant, qui s'était rué le couteau à la main. Enfin, le troisième, voyant ses deux camarades vaincus avec tant de facilité, voulu s'enfuir appeler de l'aide, mais l'étranger fut plus rapide, il arriva dans son dos et lui trancha la tête d'un coup sec. Puis, une fois le combat terminé, on n'entendit plus que les gémissements du deuxième assaillant, qui agonisait tandis ce que son abdomen vomissait le sang. Le sabreur passa à côté de lui et écrasa son visage sous son pied, revêtu d'une sandale à la semelle en bois. Les gémissements cessèrent alors.
    Mais ce n'était pas fini, il restait encore une personne vivante. L'épéiste, en rangeant son katana, se dirigea derrière le comptoir où la jeune femme qui tenait cette modeste auberge était recroquevillée sur elle-même, tremblant et sanglotant de terreur. Mais cet homme n'avait pas de pitié, il agrippa la femme, dans la fleur de l'âge, par les cheveux et la frappa une fois dans le visage pour la sonner. Alors il la tira de force dans l'arrière cuisine, et là il abusa de son corps. Pour les occupants de ce bar, le destin s'était montré cruel, et n'épargna pas cette innocente femme, car son unique consolation pour avoir été sauvagement violée, fut une mort rapide.
    Satisfait de ses actes, le démon, car on ne pouvait appeler un tel sauvage "humain", repartit de l'auberge, laissant derrière lui un macabre spectacle pour le prochain qui franchirait le seuil du bâtiment. Personne n'avait pu appeler de l'aide, et tout s'était déroulé si vite et si efficacement qu'aucun cri fort n'avait retentit, de ce fait, aucun villageois n'aurait pu deviner le tragique incident qui venait de se déroulait.
    La pluie tombait toujours, l'orage tonnait, et là, sur le sentier boueux, un meurtrier nommé Yasha Nurayaheimon marchait d'un pas tranquille.

    Yasha était un descendant d'une famille noble japonaise. Son père était un ancien ninja de l'école d'Iga, qui avait réussi à terminer sa carrière à la court de Shogun, pour ses services rendus. Ainsi, il éduqua son fils à la même vocation qu'il avait de son temps embrassé. Yasha fut donc entrainé à l'art du combat très jeune, sous l'oeil aguerri de son père. Le maniement de plusieurs armes lui fut inculqué, tel que le sabre ou le naginata, afin qu'il devienne un véritable combattant d'élite. Lorsqu'il fut dans la fleur de l'âge, il fut envoyé à Iga afin d’approfondir sa maîtrise du Ninjutsu, et de devenir un véritable ninja. Après quelques années approfondissement passées, il revint au berceau familial, à la cour du Shogun, et entra au service  du Shogun en tant que Ninja. Son grand talent ainsi que les relations de son père lui permirent d'intégrer l'Oniwaban, lorsque celui-ci fut formé par le Shogun Tokugawa Yoshimune, il avait alors à peine vingt-quatre ans. En tant que membre de l'Oniwaban, il dut effectuer de nombreuses missions très importantes, se résumant souvent à espionner ou assassiner des potentiels ennemis, ou des opposants au Shogun, la moindre erreur de discrétion pouvait placer le Shogun en position difficile.
    Mais au bout de quelques années, Yasha commença à se lasser de tuer des politiciens. Il avait pris gout à l'assassinat et de nouvelles tendances commençaient à se manifester chez lui. Son goût naissant pour l'assassinat le poussa à tuer des personnes non ciblées lors d'assassinats, à chaque fois des personnes se trouvant plus ou moins proche de la cible. Pour justifier ses actes, Yasha prétendait que "Pour éviter d'avoir des témoins, autant tuer tous les potentiels témoins". Mais ces bavures non-accidentelles ne plurent pas au Shogun, et ainsi Yasha finit par être condamné au Sepukku (suicide rituel) pour "désobéissance aux ordres du Shogun". Mais Yasha s'enfuit alors, désirant vivre libre. La dernière chose qu'il fit avant cela fut d'assassiner son père et sa mère pour se libérer de ses dernières attaches, et l'unique chose qu'il garda de sa vie d’antan fut le Shamisen offert par son père à l'un de ses anniversaires. Il finit par disparaitre dans la nature et on n'entendit plus parler de lui à la cour du Shogun.
    Il devint alors une sorte de Tsujigiri, commettant des massacres dans de petits villages, et il est préférable de ne pas lister la liste de tous ses méfaits depuis lors.
    Mais un bousculement intervint néanmoins dans sa vie.

    Ce fut en fin d'après-midi, un jour où il pleuvait, encore une fois. Le ciel était gris, et personne ne trainait dehors. Yasha traversa un petit village sans avoir l'intention de s'arrêter à un quelconque endroit de particulier. Mais alors qu'il marchait sur l'allée principale boueuse, il entendit le son d'un instrument à cordes. Il se dirigea vers l'origine du bruit, jusqu'à voir une femme jouant du Shamisen, à l’abri sous un toit de fortune. D'ordinaire, il se souciait peu de la vie de simples paysans, mais les tonalités de la musique l'intriguèrent.
    "Femme, quelle est cette musique?"
    La femme leva la tête en sa direction, ses paupières étaient fermées, elle était aveugle.
    "- Je l'ignore, je l'ai entendue d'un marin hollandais.
    - Un étranger, ici? Étonnant... Mais ces sonorités ont en effet l'air de ne pas venir d'i..."
    Soudain, sans comprendre pourquoi, son corps lui paru lourd, et un sommeil soudain et assommant le prit. Son corps s’affaissa dans la terre boueuse, et le noir recouvra son esprit.

    Bienvenue dans Evil Side... 


    Marques ou objets particuliers :

    Yasha est chargé d'armes et d'objets létaux. En tant qu'assassin, il lui indispensable d'être le plus efficace possible dans le meurtre, même si le bon mot approprié pour qualifier sa discipline serait "la boucherie". Il est armé tout d'abord d'un bâton de pélerin Shakujou, qui possède une lame rétractable à son extrémité inférieure, ce qui permet de le rendre comme un Naginata lorsque la lame est déployée. Ensuite, il possède un Katana de bonne qualité rangé à son flanc gauche, sa lame a gardé un excellent tranchant malgré le nombre de corps qu'elle a découpé. De plus, il possède un Tanto (sorte de poignard japonais)  caché à l'intérieur de ses vêtements, retenu par sa ceinture. Mais ce n'est pas fini: pour conclure le tout, il possèdes des aiguilles d'environ dix centimètres empoisonnées, qu'il garde cachées sous ses manches, attachées à des brassards en lin, indispensables si il ne veut pas se piquer lui-même en bougeant ses bras. Ces aiguilles possèdent un anneau à l'extrémité afin d'être tirées et lancées avec facilité, il en possède deux à chaque bras.
    Et enfin, ce n'est pas une arme mais c'est important: il possède un shamisen richement orné qu'il porte sur son dos, et dont il joue lorsqu'il se sent inspiré.

     

    Image: Voilà, fait de ma popre main, garanti frais:

    http://i.imgur.com/b4k8ijc.jpg

    Niveau de rp : Pas mauvais.

    Avez-vous lu les règles ? bah, il me semble bien ._.
    Edit: Carotte, chat

    Epoque: XVIIIe siècle.

    Mardi 21 Avril 2015 à 21:06
    Casse Noisettes
    Woh, beau dessin! :o Validé! ^w^



    Vous devez être membre pour poster un message.